Anime,  Anime - Au fil des Episodes

Anime du Printemps 2017 – Premières impressions

Bonjour à tous.

Aujourd’hui, je vais vous parler des anime de cette saison que j’ai commencé en avril. Je ne parle pas souvent d’anime sur ce blog et ça fait un long moment que je n’ai pas parler de série en cours (ma dernière « première impression » remonte à 2009), mais chaque saison depuis quelque temps, surtout depuis la démocratisation du simulcast légal, j’ai envie de parler de ce que je regarde. Ayant commencé pas mal de série cette saison, j’ai pensé qu’il était temps de m’y mettre, j’ai donc commencé à écrire cet article le 11 avril. Et on est le 05 mai. Comme vous le voyez, j’ai mis énormément de temps pour écrire ce billet. Au début, je voulais parler des premiers épisodes seulement, mais comme j’ai traîné, j’ai fini par regarder la suite et par modifier mes impressions. J’ai continué à accumuler du retard, j’ai encore commencé de nouvelle série et j’ai hésité à laisser tomber ce billet mais finalement, je l’ai publié quand même. Voilà pour le petit post-mortem de l’article, il est temps de passer à autre chose.

Dans ce billet, je vous donne mon avis en détails sur 11 séries que j’ai commencé cette saison. Je termine aussi avec mon avis rapide sur trois série courte. Vous pouvez accéder au site officiel de chaque série en cliquant sur leur titre et je donne à chaque fois le lien vers le site de simulcast officiel, si un de mes avis vous donne envie d’essayer une série.

Bonne lecture.

Attention, certain des PV ci-dessous peuvent contenir des spoilers.

Kabukibu!

Épisodes vues : 04/12

Studio : Deen

Disponible sur ADN

Kurogo KURUSU est un lycéen fan de Kabuki qui souhaite ouvrir un club dédié à cet art traditionnel japonais. Pour cela, il part à la recherche de cinq membres potentiels.

Kabukibu! est tiré d’un light novel écrit par EDA Yûri. Pour cette adaptation en anime, ce sont les CLAMP qui ont été choisi pour s’occuper du character design original. Rien que pour cette raison, je ne pouvais pas passer à côté de cette série. En plus, l’histoire a pour thème le Kabuki, un art théâtral traditionnel japonais que je ne connais pas très bien et il n’y a rien de mieux qu’un bon divertissement pour découvrir ce genre de chose, surtout que Kabukibu! est très didactique et donne des informations sur cet art régulièrement. Contrairement à « Shôwa Genroku Rakugo Shinjû« , autre anime sur le thème de l’art traditionnel japonais, le contexte de Kabukibu! est très classique : un lycéen passionné qui veut monter un club, on l’a déjà vu dans plein d’autres séries et en effet, le premier épisode n’avait rien de très original mais il y a une bonne galerie de personnages qui sont plutôt attachants. J’aime beaucoup le personnage principal, enthousiaste et passionné, qui ne se prend pas la tête avec les côtés figés du Kabuki, comme le casting qui doit être 100% masculin. Il veut faire du Kabuki pour s’amuser et c’est déjà bien suffisant. Je termine en mettant +1 pour l’ending que j’ai trouvé artistiquement très beau.

 

Fukumenkei noise

Épisodes vues : 04/12

Studio : Brain’s Base

Disponible sur ADN

Chaque matin depuis 6 ans, Nino ARISUGAWA chante sur la plage la même chanson dans l’espoir de retrouver le jeune garçon qu’elle a connu à l’époque, Yuzu. Elle est aussi sans nouvelles de son ami d’enfance et voisin, Momo. Mais tout va changer le jour de son entrée au lycée.

Fukumenkei Noise est l’adaptation d’un shôjo manga de FUKUYAMA Ryôko, publié en France par Glénat sous le titre Masked Noise. La série mélange romance, musique et vie scolaire. Il y a aussi un peu de drame avec le passé des deux personnages masculins. Les personnages sont plutôt sympathiques même si l’héroïne est un peu trop focalisé sur les garçons. Elle chante pour les retrouver mais pas vraiment pour elle et j’espère que ça changera un peu par la suite. Sinon, j’aime bien le personnage de Mio qui aide l’héroïne même si elle est sa rivale aussi bien en amour qu’en chant. Et même si elle est un peu comme Nino dans le fait qu’elle chante plus pour le garçon qu’elle aime que pour elle, elle a un fort caractère ce qui la rend plus sympathique que Nino à mes yeux. Sinon, niveau garçon, j’ai un faible pour Yuzu mais Momo n’est pas encore assez développé pour le moment. En tout cas, sans spoilé, j’aime bien comment le hasard fait bien les choses dans cette série. xD

Techniquement, l’anime n’a rien d’exceptionnelle mais il est dommage que les plans éloignés lors des scènes de concert soient dans une 3D aussi affreuse. Le character design est assez fidèle à celui du manga (même s’il ne peut pas rivaliser avec l’original) mais j’ai parfois du mal avec les yeux, principalement ceux de l’héroïne. Enfin, en ce qui concerne les musiques, elles sont assez sympathiques pour le moment et j’ai particulièrement apprécié l’opening, notamment utilisé lors du concert à la fin de l’épisode 01 (pour l’anecdote, c’est la mangaka qui écrit les paroles des chansons et c’est elle qui a choisi la seiyû de l’héroïne).

 

Ôshitsu Kyôshi Heine

Épisodes vue : 05/??

Studio : Bridge

Disponible sur Crunchyroll

Heine WITTGENSTEIN viens d’être nommé précepteur des quatre princes cadets du royaume de Grannzreich (Kai, Bruno, Leonhard et Licht). Même s’il y a peu de chance qu’ils montent sur le trône, ils doivent quand même recevoir une éducation digne de ce nom. Cependant, ils font fuir tous leurs professeurs. Heine réussira-t-il à se faire respecter ?

La série est l’adaptation d’un manga d’Akai Higasa en cours de publication dans le magazine GFantasy de Square-Enix. C’est une comédie mais l’histoire semble dépasser ce cadre car les personnages ont chacun des blessures et Heine semble avoir un secret et un objectif. On a une galerie de personnage stéréotypé mais attachant. Il y a, dans l’ordre du plus âgé au plus jeune, le prince qui fait peur à tout le monde à cause de son regard, l’intellectuel, le nul pour les études mais bon en sport et le frivole coureur de jupons. Et il y a Heine qui, malgré sa taille le faisant passer pour un enfant, est un homme doué pour tout et sans défaut. On aura tous son personnage préféré et personnellement, j’ai un faible pour Léonhart (le prince nul en étude), parce que c’est lui qui me fait le plus rire mais aussi le plus de peine à cause de son caractère. Enfin, l’anime est jolie techniquement, sans 3D moche et avec de bon opening et ending. Surement une des séries que j’apprécie le plus cette saison. 

 

Tsuki ga Kirei

Épisodes vues : 04/??

Studio : feel.

Disponible sur Crunchyroll

C’est la rentrée au collège de Kawagoe. MIZUNO Akane entre en troisième et se retrouve dans une nouvelle classe, séparé de ses amies. C’est aussi dans cette classe que se trouve AZUMI Kotarô. Alors qu’ils n’arrivent pas à s’adresser la parole, le festival du sport va leur donner un petit coup de pouce.

Tsuki ga kirei est un anime original du studio feel. où l’on suit la romance entre deux adolescents en dernière année de collège. Même s’ils sont très différents (Akane est sportive et membre du club d’athlétisme alors que Kotarô aime la lecture et veux devenir écrivain), ils sont attiré l’un par l’autre. L’histoire se focalise donc sur leur histoire d’amour naissante mais développe quelques fois celles des personnages secondaires lors de petites scénettes en fin d’épisodes. J’aime beaucoup cette série que je trouve très mignonne. Les deux personnages principaux sont très timide ce qui les rend encore plus chou (ce qui a donné une scène bien embarrassante qui m’a bien fait rire dans l’épisode 01). Heureusement, ils sont aidés par LINE, un mélange entre un réseau social et une messagerie instantanée très populaire au Japon. Il est bien plus facile pour nos deux héros de communiquer via l’écrit qu’en face à face. On ne voit pas souvent les technologies actuelles utilisées dans les séries et ça donne vraiment un rendu très moderne à Tsuki ga kirei. Graphiquement, l’anime est jolie excepté la 3D sur la foule. Le character design est mignon et il y a de beau plan sur la ville de Kawagoe. La série a aussi un côté tranche de vie et contemplatif avec notamment un passage entier dédié à la façon de prier dans un sanctuaire Shinto.

 

Kenka Banchô Otome ~Girl Beats Boys~

Épisodes vues : 03/12

Studio : Project No.9

Disponible sur Crunchyroll

NAKAYAMA Hinako doit se faire passer pour un garçon au lycée de Shishiku, réputé pour être un repère de voyou. Sous le nom d’ONIGASHIMA Hikaru, elle devra se battre contre les autres élèves de l’école et devenir la numéro 1.

Cette série est l’adaptation d’un otome game de Spike Chunsoft en épisodes de seulement 08 minutes et c’est bien dommage. J’ai fait le jeu, il est très drôle et je regrette vraiment qu’il n’est pas le droit à un anime au format classique. En plus, ce format ne convient vraiment pas à l’histoire selon moi et un seul épisode n’a pas été suffisant pour introduire correctement le contexte, d’autant plus que les événements ont été mélangé (on la voit entrer au lycée dans l’épisode 01 et rencontrer Hikaru dans le 02). Ce début reste cependant sympathique à regarder. La doubleuse de Hinako (non présente dans le jeu) est bien choisi et même si les personnages ultras secondaires ne sont que des ombres avec aucune animation labiale, techniquement l’anime tient la route, avec notamment quelques scènes de combat bien chorégraphié. Je conseillerais donc à ceux qui n’ont pas commencé la série et qui ne connaissent pas le jeu de faire la série d’une traite une fois celle-ci terminé. Apparemment, l’histoire devrait être inédite par rapport au jeu, ce dont je me doutais vu qu’il y a quatre nouveaux personnages (en collaboration avec LoveDesire), donc je suppose que le côté romance va disparaître. Sachant que dans le jeu on pouvait aussi finir avec chaque personnage en étant juste ami, ce n’est pas trop dérangeant. En tout cas, il ne reste plus qu’à espérer la sortie du jeu en Europe.

 

Room Mate

Épisodes vues : 03/12

Studio : TYPHOON GRAPHICS

Disponible sur Crunchyroll

Vous êtes une jeune fille désignée concierge d’une propriété qui héberge trois jeunes garçons aux personnalités très différentes.

Room Mate est la version de One Room destiné au public féminin. Le particularité de ses séries, c’est que les personnages s’adressent au spectateur, c’est à dire vous. C’est comme-ci vous étiez le personnage principal. Le principe est assez bizarre mais personnellement, je trouve ça très drôle car particulièrement ridicule. Room Mate est une série 100% fan service et c’est encore l’ending qui en est le meilleur exemples. Je vous laisse le plaisir de le découvrir, en sachant qu’il est légèrement différent à chaque épisodes. On a donc trois personnages masculins, un sportif qui aime l’escalade, un artiste (acteur) et un littéraire (on n’a pas encore bien vu ce troisième personnage mais on le voit souvent avec un livre). Peut-être tomberont-ils tous amoureux de vous ? En attendant, je ne conseille pas spécialement la série mais si vous aimez les expériences « otome » un peu ridicule, je vous conseille d’essayer.

 

 

Granblue Fantasy The Animation

Épisodes vus : 05/14

Studio : A-1 Pictures

Disponible sur Wakanim

Gran est un jeune villageois courageux qui rêve d’aventures. Un jour, il rencontre Lyria, une jeune fille amnésique aux pouvoirs mystérieux, et Katarina, une ancienne lieutenante de l’Empire. Ce dernier veut récupérer Lyria pour poursuivre leurs expériences. Gran les rejoindra dans un voyage à travers les îles flottantes qui composent le monde de Granblue Fantasy.

Rien que le synopsis montre bien le classicisme du début de cette série. On se croirait dans un RPG d’heroic fantasy type Final Fantasy ou Tales of. D’ailleurs, il s’agit de l’adaptation d’un jeu mobile de Cygame (Rage of Bahamut), très populaire au Japon (le jeu n’est pas disponible en France mais la version japonaise est traduite en anglais et vous pouvez même jouer avec google chrome). Ce qu’on remarque tout de suite, ce sont les graphismes de l’anime, avec son character design détaillé et fidèle aux artworks du jeu. C’est vraiment jolie et même si l’histoire commence de façon classique, les personnages sont vites attachants (excepté la mascotte qui, fait rare chez moi, m’a énervé direct) et l’univers est assez enchanteur si l’on aime les îles flottants dans le ciel azur et les aéronefs flamboyants (poésie poésie XD). En plus, l’opening est chanté par BUMP OF CHICKEN, un groupe dont la renommé n’est pas usurpé, mais j’ai personnellement un faible pour l’ending, chanté par HARUHI qui, avec son ambiance, colle parfaitement à la série. Alors certes, l’histoire est classique, le groupe des héros va s’agrandir et ils vont vivre des aventures, mais la série reste assez divertissante. Je me demande juste si le nombre d’épisodes sera suffisant pour bien développer l’histoire.

 

Atom : The Beginning

Épisodes vues : 03/12

Studios : Production I.G., OLM, Signal.MD

Disponible sur Wakanim

Après une grande catastrophe, le Japon s’est reconstruit et la robotique a fait un bon en avant. Tenma UMATARÔ et Hiroshi OCHANOMIZU sont deux chercheurs de génie très excentrique qui se consacrent à l’intelligence artificielle.

Cette série est l’adaptation du manga éponyme dessiné par Tetsurô KASAHARA et scénarisé par Masami YÛKI disponible en France chez Kana et c’est surtout un prequel du célèbre manga d’Osamu TEZUKA, Tetsuwan Atom (Astroboy). On suit les créateurs du petit robot à l’université où ils ont construit une sorte de prototype d’Astro nommé A106. Ils sont accompagnés dans leurs aventures par la petite sœur d’OCHANOMIZU, Ran, qui est une lycéenne fan de robot et Motoko TSUTSUMI, étudiante en robotique et sœur d’un génie nommé Moriya, qui essaie de draguer OCHANOMIZU sans trop de succès. Le début est assez sympa avec un peu d’action et des personnages attachants par leur côté excentrique. Par exemple, les deux héros se tiennent des fois par le nez ce qui est un peu ridicule et rigolo. Je regrette cependant de ne pas connaître l’oeuvre originale car je passe à côté de plein de chose ne sachant pas ce que deviennent les personnages dans le manga de TEZUKA. Connaître Tetsuwan Atom est certainement un plus pour apprécier cette série à sa juste valeur. Je pense que j’aurais quand même beaucoup de plaisir à suite cette série.

 

Alice & Zôroku

Épisodes vus : 05/12

Studio : J.C.Staff

Disponible sur Crunchyroll

Sana est une petite fille avec de grand pouvoir qui s’est échappé d’un laboratoire. Elle fait la rencontre de Zôroku, un vieux fleuriste qui vit avec sa petite fille, une lycéenne du nom de Sanae.

Alice & Zôroku est l’adaptation d’un manga en cours d’IMAI Tetsuya, prépublié dans le Comic Ryu depuis 2012. C’est une série de genre fantastique. Dans le Japon contemporain, certaines personnes ont hérité de pouvoir, tous différents, appelé Rêves d’Alice, en référence à Alice au Pays des Merveilles. Pour l’instant, on ne sait pas grand choses sur ses pouvoirs et leur origine, ainsi que l’identité de Sana, est le grand mystère de la série. Il y a aussi un peu d’action, notamment dans l’épisode cinq. Enfin, il y a une touche de tranche de vie. En tout cas, la série est assez sympathique avec notamment une méchante avec un passé assez intéressant. Le dernier épisode en date est une sorte de fin d’arc car pas mal de choses ont été réglé donc ce vers quoi la série va se diriger reste un mystère. J’espère que ça ne deviendra pas trop tranche de vie.

 

Shûmatsu nani shitemasu ka ? Isogashii desu ka ? Sukutte moratte ii desu ka ?

Épisodes vus : 04/??

Studios : Satelight, C2C

Disponible sur Crunchyroll

Willem Kmetsch est engagé par l’armé pour garder des armes. A son arrivée, il découvre que l’entrepôt dont il a la garde est en réalité un bâtiment habité par des petites filles. Il y retrouve Chtholly, jeune fille qu’il avait aidée quelques jours plus tôt.

Sous le titre a rallonge de « Shûmatsu nani shitemasu ka ? Isogashii desu ka ? Sukutte moratte ii desu ka ? » (abrégé en Shukashuka) se cache, comme souvent, un light novel. Ce dernier est l’oeuvre de KARENO Akira au scénario et ue au dessin et a pris fin avec son cinquième volume en avril 2016. Cette adaptation devrait donc être complète. L’histoire se passe dans un monde de fantasy où la plupart des gens ont un attribut animal. Tous vivent sur des îles volantes car la surface est dominé par des bêtes invulnérable. Chtholly et les autres enfants sont les seuls capables de manié les armes sacrées et sont donc envoyé au combat. L’univers est assez sombre parfois avec cette ambiance de fin du monde. Il n’y a pas vraiment d’action car on suit l’histoire du point de vue de Willem, qui ne peut que s’occuper de ces jeunes filles jusqu’à ce qu’elle parte au combat. En tout cas, la bataille semble perdu d’avance et la suite de l’histoire m’intrigue beaucoup.

 

Sagrada Reset

Épisodes vus : 04/24

Studios : David Production

Disponible sur ADN

Dans la ville de Sakurada, la plupart des habitants ont un pouvoir. MISORA Haruki a le pouvoir de rembobiner le temps, c’est le « reset ». Grâce à son pouvoir, ASAI Kei est le seul capable de se rappeler de ce qui s’est passer avant le « reset ». Ensemble, ils aideront les gens grâce à leurs dons.

Sagrada Reset est l’adaptation d’un light novel écrit par KÔNO Yutaka et dessiné par SHIINA You, terminé en sept tomes. Là encore, l’anime devrait adapter l’oeuvre dans son intégralité. On suit donc des adolescents avec des pouvoirs, thème assez classique, mais ici, il y a très peu d’action. L’enjeu, c’est surtout de voir comment le héros va réussir à combiner différents pouvoirs pour réussir à aider les gens. Le côté « rembobinage » ou retour dans le temps est assez intéressant par ce qu’il amène d’imprévu et quand on aime la thématique, l’anime devient très intéressant. Le problème vient par contre des personnages dont il est difficile de s’attacher. Kei est un peu froid et Haruki un peu trop distante mais d’une manière général, les personnages sont tous un peu bizarre. L’avantage, s’est qu’ils sont moins stéréotypé que d’habitude. Graphiquement, l’anime est beau et la ville de Sakurada est jolie, perdu en pleine nature et entouré de montagnes.

Il reste quatre séries que je regarde dont je n’ai pas au dessus. Il y a la saison 6 de Natsume Yûjinchô (Le Pacte des Yokai) qui n’est pas licencié en France (quel dommage !). La série est toujours aussi génial et c’est sans contexte mon anime préféré de la saison. Les trois autres sont des séries courtes,

  • I love kome, une série où les différentes variété de riz sont anthropomorphisé. Pour contrer le pain qui grignote les parts de marché au riz d’année en année, ils décident de monter un groupe d’Idol et de gagner le concours Harvest. C’est totalement débile mais on rigole bien et il y a des recettes à base de riz en générique de fin.
  • Yami Zukan, des histoires effrayantes par le studio derrière Yami shibai. Ce n’est plus du tout animé et le style graphique ne me plait pas du tout. En plus, les histoires sont pas terrible, le seul épisode que j’ai aimé est celui avec les androïdes. Si ça ne durait pas que 3 minutes, j’aurais sûrement laissé tomber. Dommage, j’aimais bien les premières saisons de Yami shibai.
  • Nobunaga no shinobi : Ise Kanegasaki hen, la suite de Nobunaga no shinobi. Ma série courte préféré. Les dessins sont mignons, les personnages sont drôles et on apprend des trucs sur l’histoire japonaise. Je conseille.

Enfin, il y a deux séries que je n’ai pas encore commencé parce que je n’ai pas vu leur première saison en entier, The Excentric family (que je veux voir absolument) et L’attaque des titans.

Voilà pour ces impressions sur les anime du printemps 2017. Si vous avez tout lu, merci. N’hésitez pas à me laisser un commentaire pour me dire ce que vous regardez en ce moment. 

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